Dans les divisions Ouest (autant dans la Nationale que dans l’Américaine), la médiocrité semble de mise. Seuls Los Angeles et Anaheim connaissent le succès. La division Ouest de la ligue Américaine joue collectivement 72 parties sous .500 et la division Ouest de la Nationnale 70. Si l’on considère que Anaheim joue 24 parties au dessus de .500 et Los Angeles joue 18 matches au dessus de .500. Ça donne 184 parties sous .500 pour les 6 autres équipes (une moyenne d’environ 31 chacune). Pas très reluisant.
La division Est de la Nationale, outrageusement dominée par les années passées par les Expos, compte toutes ses équipes avec une fiche de .500 ou plus mais ensemble seulement 22 parties au dessus de .500.
C’est dans l’Est de l’Américaine qu’il y a les plus grandes disparités. Deux équipes dominantes (Boston et Toronto + 55) et le reste (-41) qui en arrache.
Étrangement, ce sont les divisions Centrales qui autrefois, outre Kansas City qui a su dominer années après années, étaient considérées plus faibles. Mais voilà que la Centrale de l’Américaine joue pour 58 games au dessus de .500 et son homonyme de la Nationale 48. C’est 106 parties de plus de gagner dans les Centrales que sur les Cotes. C’est tout à l’honneur des J-F Legault, Frank Sévigny, Steve Lapierre, Éric Hoffman…
Bon Travail messieurs.