Un peu d’histoire…
Depuis les débuts de la LBSQ (saison 2002), la LigueAméricaine a outrageusement dominé la Ligue Nationale en ce qui a trait auxgagnants de la Série Mondiale. En 22 saisons, la L’Américaine a gagné 14 foiscontre 8 pour L’Américaine.
Seulement 4 équipes ont conquis le titre dans la Nationale :Montréal 3 fois, St-Louis 2 fois, mes anciens Cubs 1 fois et les défuntsRockies 1 fois également. Parmi les équipes actuelles, dans les divisions Estet Ouest, seuls les Expos ont déjà gagné la Série Mondiale. J-F Legault et Jimmy St-Pierre sont les seulsdirecteurs présentement actifs dans la Nationale à pouvoir se targuer d’avoir raflerles grands honneurs.
Dans l’Américaine, c’est une toute autre histoire alors que2 équipes de la division Ouest (Anaheim et Seattle), 3 équipes de la Centrale(Détroit, Kansas City et White Sox) et 3 dans l’Est (Baltimore, Toronto etBoston) ont remporté le prestigieux trophée.
Seattle (surtout du temps du GM Gauthier) a 4 championnats àson actif, Baltimore 3 et Toronto 2 sont les autres gagnants multiples de laclassique de fin saison de la LBSQ.
Avec les nombreux changements de directeurs, seuls Jodoin(Baltimore), Langlois (Toronto), Marcotte (Détroit) et Boisvert (KC) ont connula victoire ultime.
À l’approche de la fin de la campagne, les Legault,St-Pierre, Marcotte et Boisvert tenteront d’ajouter un autre fleuron à leurcouronne alors que le « novice » François Robineau qui tente d’accéder auxséries pourrait gagner dès sa deuxième saison à la barre des Twins. Bergeron (Yankees) pourrait bienmêler les cartes. Paquin (Atlanta) et Nolet (Anaheim), après plusieurs saisonsinfructueuses aimeraient bien mettre un terme à la disette.
Parmi les directeurs qui sont là depuis le début et qui n’ontjamais gagné, Pat Parenteau qui possèdela meilleure équipe depuis le début de la saison pourrait enfin savourer sonpremier championnat laissant ainsi les directeurs Gosselin (Philadelphie) etArchambault (San Francisco) les 2 seuls à être en poste depuis la création dela LBSQ et ne jamais avoir gagné.
PS : fin de ma carrière journalistique.